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Résultats Positifs : Impact des Formations chez SEGUREL & FILS

Nous partageons les résultats concrets des formations "Prévention des Risques Routiers" et "Comment Réduire les Risques au Volant" animées chez notre client SEGUREL & FILS. 

 Points Clés des Résultats :

  • 2023 : Rapport sinistralité à prime (S/P) de 73% avec des constats mal remplis
  • 2024 : Rapport sinistralité à prime (S/P) de 47% avec des constats mieux remplis

Ces résultats démontrent l'efficacité des formations dispensées, avec une amélioration notable de la qualité des constats et une réduction significative du rapport sinistralité à prime.

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Formation Réussie : Prévention des Risques Routiers chez STPP !

Nous sommes ravis de partager le succès de notre dernière formation sur la Prévention des Risques Routiers avec comme objectif de mieux remplir un constat amiable automobile, animée chez notre partenaire STPP le 20 décembre 2024. ?

Points Clés de la Formation :
- 110 chauffeurs formés en une seule session
- Retour positif unanime des participants
- Interactivité et clarté : Des échanges fructueux avec les chauffeurs pendant toute la durée de la formation

 Témoignage Client : "La formation était simple et claire pour tous les chauffeurs. Vous avez su les tenir pendant 1h donc c’est que la formation a eu son importance dans leur vie d’entreprise. Vous avez répondu aux différentes questions."


Pourquoi Choisir Nos Formations ?
- Expertise : des formateurs spécialisés pour vous aider à comprendre et parfois éviter les risques.
- Adaptabilité : des sessions sur-mesure pour répondre à vos besoins spécifiques
- Réduction des coûts : en permettant aux chauffeurs de mieux remplir les constats, nos formations contribuent à réduire la variation de la prime d'assurance sur les années suivantes.

Vous souhaitez organiser une formation similaire pour votre entreprise ? Contactez-nous dès aujourd'hui pour discuter de vos besoins et découvrir comment nous pouvons vous accompagner ! 

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Fin de la vignette verte d'assurance : ce qui va changer à partir d'avril 2024

À l'occasion d'un comité interministériel consacré à la sécurité routière (CISR), Gérald Darmanin vient d'annoncer la disparition de la vignette et de la carte verte d'assurance au 1er avril 2024. Retour sur ce nouveau dispositif et sur les changements qu'il implique pour les automobilistes.

article écrit par Gatien-Hugo Riposseau | www.argus.fr

L'Observatoire interministériel de la Sécurité routière estime à 900 000 le nombre de véhicules non assurés dans l'Hexagone. En 2022, 7 % des accidents mortels, cause de 239 décès sur les routes et de 7 % des accidents corporels, impliquaient au moins un véhicule non assuré. Pour lutter contre ce fléau qui a coûté 107 millions d'euros au Fonds de garantie des assurances obligatoires en 2022, le Gouvernement a décidé de supprimer la vignette et la carte verte d'assurance à compter du 1er avril 2024. Quels changements cela va-t-il induire pour les automobilistes ? La réponse de L'argus.

Plus de carte verte ni de vignette mais un document dans la boîte à gants

 

C'est désormais officiel, l'abandon de la carte verte et de la vignette d'assurance auto demandée par les compagnies d'assurances depuis plusieurs années sera effective au 1er avril 2024. Cette mesure bénéficiera en premier lieu aux assureurs, qui économiseront les frais d'envoi de quelque 60 millions de certificats d’assurance par an. L'obligation d'être couvert par une garantie responsabilité civile (RC), également appelée assurance « au tiers », subsistera évidemment. La disparition de ces documents obligatoires depuis 1986 est rendue possible par la création du Fichier des véhicules assurés (FVA) en 2016, « fiable à 99,3 % » selon la Fédération France Assureurs. Depuis 2019, ce fichier est alimenté par les compagnies d'assurances, qui ont l'obligation d'y mentionner la souscription et la résiliation d’un contrat de garantie de responsabilité civile automobile par leurs assurés, dans un délai de 72 heures. Les informations suivantes y figurent et sont conservées pendant sept ans après la fin du contrat d’assurance : 

  • numéro d’immatriculation du véhicule (auto, deux-roues…) ;

  • nom de l’assureur ;

  • numéro du contrat d’assurance ;

  • période de validité du contrat d’assurance.

 

Le délai de 72 heures imparti aux assureurs pour donner ces renseignements au FVA entraîne donc une carence du fichier de la même durée qui peut poser problème en cas de contrôle routier dans les jours suivant la souscription d'assurance. C'est la raison pour laquelle les compagnies d'assurances adresseront un document formel à leurs assurés lors de la conclusion du contrat d'assurance pour leur permettre de prouver la couverture de leur véhicule durant une période transitoire de 15 jours. Un document qui trouvera durablement sa place dans la boîte à gants, puisqu'il permettra de remplir le constat en cas d'accident de la circulation ou encore de consulter les informations de son contrat. Un site sera également ouvert pour permettre aux propriétaires de véhicule de vérifier que le leur est bien recensé dans le FVA.

Deux contraventions supprimées, mais une verbalisation automatisée à l'avenir

L'une des conséquences de cette mesure est à première vue profitable aux automobilistes, puisqu'elle va entraîner la suppression pure et simple de deux contraventions du Code de la route : 

  • la contravention de 2e classe pour non-apposition du certificat d'assurance sur le pare-brise du véhicule (amende forfaitaire de 35 € pouvant être majorée jusqu'à 150 €) ;
  • la contravention de 4e classe pour non-présentation de l'attestation d’assurance dans un délai de cinq jours lorsque le papillon vert en cours de validité fait défaut sur le pare-brise (amende forfaitaire de 135 € pouvant être majorée à 375 € en cas de retard de paiement).

En contrepartie, il va falloir s'attendre à une verbalisation automatisée du défaut d'assurance par les radars qui jalonnent nos routes. Car l'article R. 121-6 du Code de la route permet déjà que ce type d'infraction soit constatée sans interpellation du conducteur, au besoin par un radar automatique. Si ce type de verbalisation n'a pas encore été mis en pratique, les radars en fonction sur le territoire pourraient y procéder en interrogeant le FVA pour tous les véhicules qui croiseraient leur route ou uniquement pour ceux qui commettraient une infraction, comme un excès de vitesse ou l'inobservation de l'arrêt imposé à un feu tricolore. Une chose est sûre, après la création du FVA, la suppression de la carte verte et de la vignette d'assurance au 1er avril 2024 est la seconde étape vers la verbalisation automatique du défaut d'assurance. Rappelons que ce délit est sanctionné d'une amende forfaitaire délictuelle dont le montant varie entre 400 et 1 000 € selon le délai du règlement. L'ultime étape sera donc probablement le feu vert du ministère de l'Intérieur pour la mise en place de ces contrôles automatisés.

Certains automobilistes risquent malheureusement de faire les frais des effets pervers d'une autre réforme en vigueur depuis le 1er juin 2023 : celle qui permet de résilier son contrat d'assurance en 3 clics. Une possibilité dont le risque majeur est de créer des périodes de carence dans la couverture du véhicule entre la résiliation d'un premier contrat et la souscription d'un second.

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PME pourquoi souscrire une assurance cyber ?

PME pourquoi souscrire une assurance cyber ?
 
 
L'assurance cyber, également appelée assurance cyberrisque, est une forme d'assurance conçue pour aider les entreprises à gérer les risques liés aux cyberattaques, aux violations de données et aux incidents de cybersécurité. Cette assurance vise à couvrir les coûts financiers et les pertes associées à ces incidents, ainsi qu'à fournir des ressources pour atténuer leurs impacts.
 
Voici quelques points importants à connaître sur l'assurance cyber :
 
- Couverture des frais liés aux incidents cyber : L'assurance cyber peut couvrir les coûts liés à la réponse aux incidents, tels que les frais de notification des parties concernées, les frais de gestion de crise, les frais de services juridiques et de relations publiques.
 
- Responsabilité civile : Si des tiers, tels que les clients ou les partenaires commerciaux, engagent des poursuites en raison d'une violation de données ou d'une atteinte à la vie privée, l'assurance cyber peut couvrir les coûts de défense juridique et les éventuels règlements.
 
- Pertes d'exploitation et interruption d'activité : En cas de cyberattaque ou de violation de données entraînant une interruption des opérations commerciales, l'assurance peut indemniser les pertes de revenus et les dépenses supplémentaires engagées pour maintenir ou rétablir les activités.
 
- Protection contre les ransomwares : Certains contrats d'assurance cyber couvrent les coûts associés aux attaques de ransomwares, notamment les frais de négociation avec les cybercriminels et, dans certains cas, le paiement de la rançon.
 
- Services d'experts en cybersécurité : Les polices d'assurance cyber peuvent inclure un accès à des experts en cybersécurité qui peuvent aider à évaluer, atténuer et réagir aux incidents.
 
- Éducation et prévention : Certaines assurances cyber offrent des ressources pour aider les entreprises à mettre en place des mesures de prévention et de sécurité pour réduire leur exposition aux risques cyber.
 
 
- Il est important de noter que les politiques d'assurance cyber peuvent varier considérablement d'une compagnie à l'autre, et que les besoins en matière de couverture dépendent du type d'entreprise, de sa taille, de ses activités en ligne et de ses systèmes informatiques.
Vous avez des questions, nos équipe sont disponible pour vous répondre ?
 
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